Article intéressant du point de vue de la macrobiotique sur les produits laitiers.
On ne peut pas remplacer impunément le lait maternel par du lait de vache, celui-ci ne correspond pas du tout aux besoins de croissance de l'enfant.
Le lait de vache ne peut pas garantir la bonne construction des cellules nerveuses et cérébrales du bébé ainsi que le bon fonctionnement des glandes en général et de l'hypophyse en particulier. Il suffit de comparer le système nerveux central du bébé avec celui du veau pour être édifié.
Le lait maternel a un effet protecteur contre les diarrhées du nourrisson, ce que n'ont ni le lait de vache, ni le lait maternisé.
La composition du lait maternel s'adapte au fur et à mesure des besoins de l'enfant, ce que ne fait bien sûr pas le lait de vache qui, lui, s'adapte aux besoins du veau.
La muqueuse intestinale des nourrissons est très perméable et laisse aller dans le sang beaucoup plus de protéines que celle de l'adulte. La trop forte teneur en protéines du lait de vache par rapport au lait maternel peut en soi être une cause d'allergie.
Chez les mammifères (dont l'homme fait partie), le nouveau-né est nourri avec le lait de sa mère jusqu'à ce que son poids ait augmenté en suffisance (à peu près triplé pour l'être humain), que ses dents soient sorties et qu'il soit capable de manger et de digérer la nourriture qui convient à son espèce.
En effet, une fois sevré, aucun animal quel qu'il soit ne boit du lait, car le cycle naturel, la programmation biologique, l'en empêche. La source maternelle est tarie et un autre régime alimentaire s'instaure qui, malgré l'absence totale de produits laitiers, n'entraînera pas de carence calcique, que les animaux soient herbivores, carnivores, insectivores, ou consomment des algues.
Craignons-nous une carence en minéraux ?
Ce serait nous considérer comme inférieurs à la vache, car elle est capable de les trouver dans le règne végétal !
Que se passe-t-il si l'on nourrit l'être humain avec du lait de vache ?
Il se passe tout simplement qu'il reçoit quelques facteurs héréditaires de la vache: le corps aura tendance à largement se développer, les organes aussi seront plus grands, et plus expansés et auront tendance à être plus faibles.
Nous constatons que si l'homme actuel est plus grand que ses ancêtres, il est aussi moins résistant tant physiquement que psychiquement.
Par ailleurs, le lait de vache étant très riche en protéines et en calcium, il y aura des excès se stockant dans différentes parties du corps et causant différents troubles, pouvant participer à la formation de kystes et de tumeurs. Avec la consommation de lait, l’ostéoporose ne diminue pas, mais au contraire elle progresse.
Nous avons constaté que le lobby laitier a noyauté la communauté scientifique et médicale depuis quelques décennies.
Le lait de vache ne peut pas garantir la bonne construction des cellules nerveuses et cérébrales du bébé ainsi que le bon fonctionnement des glandes en général et de l'hypophyse en particulier. Il suffit de comparer le système nerveux central du bébé avec celui du veau pour être édifié.
Le lait maternel a un effet protecteur contre les diarrhées du nourrisson, ce que n'ont ni le lait de vache, ni le lait maternisé.
La composition du lait maternel s'adapte au fur et à mesure des besoins de l'enfant, ce que ne fait bien sûr pas le lait de vache qui, lui, s'adapte aux besoins du veau.
La muqueuse intestinale des nourrissons est très perméable et laisse aller dans le sang beaucoup plus de protéines que celle de l'adulte. La trop forte teneur en protéines du lait de vache par rapport au lait maternel peut en soi être une cause d'allergie.
Chez les mammifères (dont l'homme fait partie), le nouveau-né est nourri avec le lait de sa mère jusqu'à ce que son poids ait augmenté en suffisance (à peu près triplé pour l'être humain), que ses dents soient sorties et qu'il soit capable de manger et de digérer la nourriture qui convient à son espèce.
En effet, une fois sevré, aucun animal quel qu'il soit ne boit du lait, car le cycle naturel, la programmation biologique, l'en empêche. La source maternelle est tarie et un autre régime alimentaire s'instaure qui, malgré l'absence totale de produits laitiers, n'entraînera pas de carence calcique, que les animaux soient herbivores, carnivores, insectivores, ou consomment des algues.
Craignons-nous une carence en minéraux ?
Ce serait nous considérer comme inférieurs à la vache, car elle est capable de les trouver dans le règne végétal !
Que se passe-t-il si l'on nourrit l'être humain avec du lait de vache ?
Il se passe tout simplement qu'il reçoit quelques facteurs héréditaires de la vache: le corps aura tendance à largement se développer, les organes aussi seront plus grands, et plus expansés et auront tendance à être plus faibles.
Nous constatons que si l'homme actuel est plus grand que ses ancêtres, il est aussi moins résistant tant physiquement que psychiquement.
Par ailleurs, le lait de vache étant très riche en protéines et en calcium, il y aura des excès se stockant dans différentes parties du corps et causant différents troubles, pouvant participer à la formation de kystes et de tumeurs. Avec la consommation de lait, l’ostéoporose ne diminue pas, mais au contraire elle progresse.
Nous avons constaté que le lobby laitier a noyauté la communauté scientifique et médicale depuis quelques décennies.
Aperçu théorique sur la nutrition macrobiotique dispensé par "Le Grain de Vie"
Plus d'informations: www.graindevie.org
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_Posted by X0X83X_
C'est fou ce que le lait de vache peut être désavantageux pour l’être humain.
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